REPORTAGE - "Tous inquiets" : les hospitalisations annoncées de Charles et Kate intriguent les Londoniens

par Hamza HIZZIR | Reportage TF1 Elise Stern, Clément Dubrul
Publié le 18 janvier 2024 à 16h15

Source : JT 13h Semaine

Juste après avoir levé le voile sur l’intervention chirurgicale de Kate Middleton, la famille royale a annoncé l’hospitalisation prochaine du roi Charles III.
Outre-Manche, c'est l'emballement général, comme vous le racontent nos correspondants sur place.

C’est un secret bien gardé, et on ne parle pas des deux policiers placés devant l’entrée de la clinique privée où Kate Middleton s'est fait opérer à l'abdomen. L’annonce de cette hospitalisation, suivie de très près, mercredi, par l’annonce de celle, à venir, du roi Charles III en raison d'un problème de prostate, font les choux gras des journaux et des chaînes de télévision britanniques ce jeudi. Un engouement qui tient en partie au mystère qui plane sur l'état de santé des deux figures royales.

Dans les rues de Londres, on se rassure comme on peut, surtout concernant Kate Middleton, autrement plus jeune (42 ans) et populaire que le monarque (75 ans). "Forcément, les gens en parlent. On adore tous la princesse, et on est tous inquiets pour elle, mais on nous dit que ce n’est rien de très grave", préfère retenir un retraité. "Même les royaux sont des êtres humains, rappelle pour sa part, dans un français impeccable, un autre piéton londonien. Voilà, on en a une nouvelle preuve. Il y a aussi quelques inquiétudes pour le roi, son beau-père."

"Comme des milliers d'hommes chaque année, le roi a consulté pour une hypertrophie de la prostate. Ce dont est atteint sa Majesté est bénin et il se rendra à l'hôpital la semaine prochaine pour une procédure correctrice", a simplement communiqué le palais de Buckingham, sans préciser ni la date, ni la durée de ce passage à l'hôpital. Alors que Kate Middleton n’a, elle, rien laissé filtrer quant aux raisons de son hospitalisation, si ce n'est qu’il ne s’agit pas d’un cancer. 

Ce que les habitants de Londres comprennent. "Si cela menaçait sa vie, alors oui, les gens devraient savoir. Mais heureusement, ce qui lui arrive ne semble pas aussi sinistre, alors on lui souhaite juste d’aller mieux", résume une promeneuse croisée dans un parc. Chose rare : même les tabloïds, souvent considérés comme les plus intrusifs au monde, paraissent aujourd'hui respecter ce droit à la vie privée.


Hamza HIZZIR | Reportage TF1 Elise Stern, Clément Dubrul

Tout
TF1 Info