Soignée pour un cancer du sein depuis cet été, l’ancienne belle-fille d’Elizabeth II annonce ce dimanche 21 janvier être "atteinte d’un mélanome malin".La sexagénaire "garde le moral" malgré le diagnostic, assure son porte-parole cité dans la presse britannique.Une bataille de plus sur le front de la santé pour les Windsor, après l’hospitalisation de la princesse de Galles et celle à venir du roi Charles III.
Elle n’a pas hésité avant de médiatiser son cancer du sein, espérant inciter les femmes à aller se faire dépister. Sarah Ferguson n’a pas non plus gardé pour elle la nouvelle bataille qu’elle mène désormais de front contre un cancer de la peau. Dans un communiqué transmis à la presse britannique ce dimanche 21 janvier, le porte-parole de la duchesse d’York annonce que la sexagénaire "est atteinte d’un mélanome malin".
"Son dermatologue a demandé que plusieurs grains de beauté soient enlevés et analysés au moment où la duchesse subissait une chirurgie reconstructrice à la suite de sa mastectomie, et l'un d'entre eux a été identifié comme étant cancéreux", poursuit le texte que relaie notamment le Telegraph.
Un appel au dépistage
L’ex-femme du prince Andrew, à qui ont été confiés les corgis de sa défunte belle-mère Elizabeth II, doit subir "des examens complémentaires pour s’assurer que le cancer a été détecté à un stade précoce". Le mélanome malin est "une tumeur potentiellement agressive, surtout lorsqu’elle est prise à un stade tardif et qui peut donner des métastases mettant en jeu le pronostic vital", selon le centre de lutte contre le cancer Léon Bérard. "Il est clair qu’un nouveau diagnostic si peu de temps après un traitement pour un cancer du sein a été bouleversant, mais la duchesse garde le moral", insiste le porte-parole de Sarah Ferguson.
Comme elle l’avait fait lors du diagnostic d’une forme précoce de cancer du sein l’été dernier, la mère des princesses Beatrice et Eugenie, 64 ans, remercie les professionnels de santé "qui l’ont soutenue". Elle a une pensée particulière pour son dermatologue "dont la vigilance a permis de détecter la maladie à temps". "Elle estime que son expérience souligne l'importance de vérifier la taille, la forme, la couleur, la texture et l'apparition de nouveaux grains de beauté qui peuvent être le signe d'un mélanome", conclut le texte.
Cette annonce intervient alors que les Windsor cumulent les problèmes de santé. Rien que la semaine dernière, Kensington Palace révélait que la princesse de Galles serait au repos forcé jusqu’à Pâques après avoir été opérée avec succès à l’abdomen. Sans donner plus de précisions sur la condition médicale de Kate Middleton. Peu après, c’est Buckingham Palace qui prenait le relais en évoquant l’hospitalisation dans les jours à venir du roi Charles III pour une procédure visant à corriger une hypertrophie bénigne de la prostate.
Loin d’être anodine, cette transparence royale a été saluée par le NHS – le système de santé britannique – et l’association Prostate Cancer UK qui ont vu grimper la fréquentation de leurs sites Internet respectifs.